Aujourd’hui j’ai le regret d’avouer n’avoir plus aucunes certitudes*.
Après moultes périples* et un grand nombre d’incohérences*, je n’habite plus aucun logis* répertorié par GPS ou autre fichage fidèle aux pouvoirs politique et économique divers aux accointances * que je ne puis répertorier !
Ma vie, que j’espérais baignée de transparence*, à seize ans, fut parsemée d’écrans de fumée.*
Nombreux furent les carrefours* rencontrés mais je n’avais pas imaginé que le périple *fusse si rude et si peu transparent* !
Je souhaitais rester nullipare*, le monde ambiant étant vraiment trop compliqué et dénué de tendresse*, mais je me commis pourtant à engendrer quelques années plus tard, mue fort probablement par l’impérieux besoin biologique de mes ovaires* !
Avec le recul, je n’ai point d’autre explication, et n’en suis pas très fière.
Non que j’aie honte de mes embryons d’hommes, mais bien plutôt d’avoir frayé certains soirs avec grande légèreté* dans des sphères équivoques* au gré de mes espoirs sans cesse renouvelés.
Je cherchais un logis, ou même une masure * baignés d’amour et de paix.
Au final, seul un chat * nommé Prudence surgi de nulle part me permit de survivre, et plus fidèle* qu’aucun autre ami, m’accompagna jusqu’à son ultime destin …