Les hommes n’avaient jamais progressé. De tous les temps, ils n’avaient que creusé dans le tréfonds de leurs âmes sombres, s’avilissant, se bagarrant, éradiquant la vie. A la fin, il ne resta que cendres et marécages morts ; enfin c’est ce qu’ils croyaient. Lorsque le dernier eut disparu, doucement l’arbre est réapparu.