Je prenais entre mes mains mon verre
Et le fracassais contre le mur vert.
J'en avais marre,
Et envisageais de finir dans la mare.
Il est vrai que j'étais le triste sire
De cire.
Pour oublier mon deuil, je reprenais vie, Indifférent à la mort que l'homme vit.
Je me rends donc dans mon stand de tir
Pour que je tire
Quelques salves en or,
Pour qu'enfin je sois hors
Ma femme m'aime,
Même
Si sur son visage, peux lire
La musique de ma lyre.
Je sais ma conquête nullement bête,
Comme l'est une bête.
Alors je dis à Pollux
Que Paul luxe
Le visage joli
Que, Joe lit.
(Alors la folie
Sut incendier notre fol-lit !!!)