T oi ma princesse, tes paupières fleuries, ne baiserai plus.
A mour, de cette vie cruelle, brisé,
J e ne peignerai plus, instants précieux, tes cheveux.
M on âme, tes gracieuses formes ne caresserai plus.
A mant errant dans cette vie, couleur chagrin,
H abite en ces pierres, mon amour, pour toujours.
A mie, ma lumière, sans toi, mon cœur est obscurité.
L’amer soleil ne se lève plus que pour me voir pleurer.