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Tes paupières totalement closes ont caché l'or

De tes yeux. Couché tout près de mes cheveux,

Ton corps souple et soyeux forme un cercle idéal

Dont la couleur zébrée par les fentes des stores

A des reflets d'argent et de pierre, mon chartreux.

Toi, à la majesté quasiment impériale

Et qui, faisant fi des promesses de l'aurore,

Continues de dormir d'un sommeil bienheureux,

Ignorant la lumière du soleil hivernal.

Je ne peux sans pleurer penser, toi que j'adore,

Qu'un jour viendra, hélas, d'un déchirant adieu.

Tag(s) : #Textes des auteurs
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