Canevas banal de mon piteux destin,
Lettres ouvertes sur la grève de mes souvenirs
Pour une longue sérénade de mots égarés...
Ainsi va ma plume au solstice des remords
Que quelques fagots de feuilles fanées
Viendront recouvrir avec constance
A l'aube où la brume estompe ton regard
Et remplit ton escarcelle de perles de pluies
Il ne restera..
A peine que quelques friandises pour des lutins curieux
Qui liront ces quelques vers
Pour le moins facétieux..