Miroir aux reflets de sable chaud
Magnifique terre où l’onde devient
Monde aux milliards d’humains
Merveilleuse oasis au soleil
Merveille vénitienne cachée au loin…
Mièvreries rencontrées
Mourantes sous les palmiers au vent
Méritiez-vous ces grossièretés avilissantes
Misérables hécatombes planétaires
Morbide tombeau de richesses somptueuses
Mouroir temporaire devenu putride...
Mensonges à vous qui êtes le chant
M’étiez-vous cher alors que près du doute
Mémoire aux souvenirs évanescents
Miroite le vivre vide de la chaleur
Même absente de mon cœur solitaire
M’imaginez-vous alors
M’émerveiller devant les convoitises
Mêmes moribondes des oreilles avides....
Merveilleuses extensions vers l’autre
Moitié de moi-même je vous vois voyager
Montant l’écume au-delà des mers
Murs de verre
Mastodonte océan d’amertume
Mitan du jour
Murmures comme bruissements de vagues
Morts avant que d’être venus s’alanguir
Misérables carcasses sur les plages offertes
Mots abandonnés sur l’ardoise
Maux du temps perdu
Maudits au regard des générations futures.