Poudre insipide,
Mes mains coquelicots t'ont déversée par-dessus le bastingage.
Je marche sans souliers, gourmandise de mon corps,
Pour cette liberté, sans conditionnement.
Naine, une mouette piaille,
Au-dessus de ma tête, son vol dessine un grand huit.
Une timbale, que le roulis déplace, heurte mon pied,
Le ciel, à nouveau pur,
Je me permets d’espérer.