Nous nous sommes tant aimés... Souviens-toi,-toi qui fus mon amant, de nos heures divines, où le temps perdait tout son sens, où nos corps prenaient tout l'espace. Oui, je t'ai tant aimé... Jeu de hasard puis jeu de l'amour, vers toi, tu m'as attirée....
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P88 Lilou – Les amants
Serrés l’un contre l’autre Ils se cherchaient Comme la source immerge De la terre sauvage Serrés l’un contre l’autre Ils se découvraient Comme un animal perdu recherche Son maître parmi la foule hostile Serrés l’uns contre l’autre Ils ne connaissaient...
Lire la suiteP88 Carolina – sans titre
A toi, mon amour, mon amant, T'aimer et ne plus savoir te regarder. Ne plus vouloir te regarder. Car ne plus y croire. Ne plus croire ce que disent tes yeux...Fatiguée, je suis fatiguée. Epuisée par tant d'années de souffrance, d'abnégation, d'oubli de...
Lire la suiteP88 Nanou – Les amants
Et le voile cristallin du bonheur se lève sur le petit jour Et les amants, ainsi tapis derrière leurs rêves de velours S’enlacent. S’étreignent. Se cherchent aussi. Puis s’oublient. A petits pas, le long des chemins ourlés d’oliviers endormis. Et s’enfuit...
Lire la suiteP88 Coralie – Les amants
Ô mon amour, ton visage si lisse emportait tous mes élans, Sur le mien je recevais, émerveillée le feu de ton regard ardent Qui m’embrasait peu à peu avec tendresse, Grande prudence et délicatesse Infinie douceur et caresses Peu à peu une brume légère...
Lire la suiteP88 Jean-yves - Les amants de Spinalonga
Aimilia s’engagea sur l’embarcadère, rabattant sur son visage le drap qu’un vent chaud tentait obstinément de lui ravir. Déjà les marins avaient replié les voiles, et tous les passagers pressaient le pas : l’orage menaçait. Le temps était à l’image de...
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