Toi ma petite lune, tu es ce qui me semble être le rêve, l'amour, la joie, le mystère, l'histoire, l'aventure de ma vie.
Le jour, tu me trompes,
La nuit tu me pompes
Et ma « paume » d'Adam se fait ravie.
Ma petite lune
Danse
Ma petite lune panse
Sa plaie vaporeuse, la brume.
Un jour, tu partiras cueillir la rose solaire, et je te suivrai avec la folie en tête, avec le désir, je pense de croire en ton étoile… ce serai le cadeau de la concordance du lunaire Concordat de la chance.
Prose, dit moi si la lune apprécie la plaisante énergie d'un cadeau de Crésus ? Tu m'estompes.
Alors dit moi petite lune, pourquoi trembles-tu tant dans ton firmament ? La lagune brisera la lacune de la canule et l'herbe bleue de la nuit te rendra de nouveau l'envie.
Je t'aime comme un fou
Et le plaisir nocturne
Chante. Mon sexe t'aime,
Et la vie diurne
Folâtre comme le beau coucou.
J'irai donc dans l'espace rejoindre ma compagne pour falsifier la musique de Goethe et composer pour « ce » qui s'aime.
Je propose, la petite lune dispose et la prose, compose comme un salut à la pose cette pause. Et je prends un rhume, Et je prends la plume Et j'allume « ce » qui s'aime…