Lorenzo se délectait des chiffres exorbitants de son compte bancaire. Il raffolait de tout ce qui avait rapport avec l'argent et les pouvoirs possibles qu'elle offrait.
Don Juan de nature extravertie, il ne pouvait s'empêcher de flirter avec tout ce qui avait deux jambes, deux pieds, deux mains. Il se croyait irremplaçable, irréprochable dans l'utilisation de l'art de la séduction. Personne d'autre que lui n'avait son charme, son unicité, sa beauté et son pouvoir de tombeur. Du moins c'est ce qu'il croyait ou voulait croire.
Ce qu'il détestait le plus chez les gens était la présence d'une personnalité dominatrice, calculatrice en rapport des privilèges, des attentions particulières ou des passe-droits; ainsi que l'absence de la virilité de caractère.