couchée parmi les violettes sauvages,
tu es reposée, rosé est ton visage,
et souples semblent être tes mains.
elles ont été douces comme l'amande
lorsqu'elles servaient d'appui,
dures et caleuses quand, piliers,
elle aidaient à se relever.
les muscles tresssaillent,
croit-on...
la vie ne t'assaille
plus, oh non.
le pas est fait, les liens coupés,
la joie abandonnée
n'a de cesse de tournoyer
en d'autres contrées,
plus de regrets.