Le monde est si terne et je ne crois pas à l'eau de la vie
Ma mémoire pleine a le goût du vomi
J'aime la vie pourtant mais n'en suis pas fier
Etre un homme de tempérament cela s'acquiert
Et combien même cela serait inscrit en or
Sur ma peau comme le journal d'un corps
Il n'en reste pas moins que les merveilles
Du gène si elles s'éveillent
Ne sont rien d'autre que l'éclaircie
Qui permet à la pouce de s'élever
Les sauvages y ont vu la femme, Marie
Toutes les femmes s'appellent Marie
De l'aube au crépuscule, du coucher au lever
Amy, ma fille, tu es ma vie, au-delà de la Nuit.